Une Drôle D’Amoureuse - 3Ème Épisode

(merci vraiment pour vos commentaires, cela motive ! Ici, un petit épisode intermédiaire assez court avant de répondre aux demandes pour l’arrivée à la maison…… )

Vendredi soir, Luc et Camille passent donc me prendre en bas de chez moi, et nous prenons la route. Direction Valéry sur Somme, où ils ont une maison une peu à l’écart de la ville, avec une vue superbe sur la mer.

Sur l’autoroute, Camille commence déjà à m’aguicher. Elle est devant avec Luc, mais se retourne régulièrement vers moi, me sourit, puis me tâte la queue, et ouvre son chemisier pour me montrer ses seins dénudés. Luc commente…
- Elle te plait ma salope hein, tu aimes reluquer ses nibards gonflés de désir.
- Je le vois dans le rétro, elle te masse la bite. Allez, sors-là de ton froc, que je puisse en profiter aussi.
- Oh, elle te branle, mais toi, interdiction de la toucher pour le moment, tu as compris ?
Je me laisse faire, c’est plutôt agréable comme voyage ! J’ai compris qu’avec ces deux-là, je n’ai qu’à me laisser guider.
A un moment, Camille s’agenouille sur son siège avant, passe par-dessus le dossier et me taille une pipe. Luc lui a remonté sa jupe sans culotte et j’aperçois son cul dans le rétro.
Quand Luc double un camion, nous avons le droit à un petit coup de klaxon, signe de contentement du routier.
La voiture est une automatique avec régulateur de vitesse, aussi Luc, bien que concentré sur la route, laisse sa main droite vagabonder sur le cul de Camille, puis lui insère deux doigts dans la chatte humide. Camille me pompe plus intensément encore.
- Ne salit pas ma banquette, interdiction de jouir.
Je me retiens, tout en me tordant le cou pour apercevoir la main de Luc qui maintenant attaque l’anus de Camille.
- Mmm, mon amour, j’aime quand tu me déflore le cul, gémit Camille.
- Je vais bientôt m’arrêter et tu vas te faire défoncer par Steve (c’est moi Steve) ma poulette.

- Vite alors, j’ai trop envie !
Et moi donc ! Luc va se garer au fond d’une aire d’autoroute. Camille s’agenouille, le cul nu vers la porte.
- Steve, arrive mon gars, ouvre la porte et encule-moi.
Je bondis hors de la voiture, ouvre sa portière, baisse mon froc, et ma queue s’enfonce dans son trou. Je la lime, je la défonce, je la prends par les hanches. Son cul rebondi m’excite au plus haut point. Luc et Camille se regardent dans les yeux.
- Il te prend bien ton amant ? Il t’encule sauvagement comme tu aimes ? Je vois dans tes yeux que tu vas bientôt jouir.
De son côté, sa main fouille la chatte de sa femme, et parfois vient me caresser les couilles quand elles tapent sur les fesses de Camille. Je n’ai jamais été touché par un mec, mais dans l’action, je trouve cela plutôt excitant.
- Ouiiiiiii, continuez tous les deux, c’est bon, beugle Camille, au bord de l’extase.
Je finis par me vider les couilles dans son cul tendu, pendant que Luc la fait jouir par devant.
- Bon, on a encore de la route, bande de cochons. Allez, on repart.
- Attends, je lui nettoie la queue dit Camille, et se retournant, elle me suce lentement.
- Ça t’excite de lécher ton odeur de cul, hein, petite pute, dit Luc.
- J’adore, et son jus a bon goût aussi, minaude-t-elle.
Je remballe mon attirail, et nous voilà repartis. Calmés, nous discutons sur le chemin, et Luc, l’air de rien, me donne les consignes pour le week-end.
- Steve, chez nous, on se promène nus en permanence. Même si quelqu’un vient sonner, on ne s’habille pas. A part pour aller en ville, pas de vêtement, et si on s’habille, c’est sans sous-vêtement.
- Aahh ?
- Oui, et quand je te demanderai quelque chose, tu dois le faire tout de suite, sans question et sans réticence. Pareil pour toi Camille. Je suis votre guide du week-end, et je décide du chemin. Compris ?
- Oui, répondons-nous tous les deux.
- Parfait, nous arrivons, et je crois que je vais passer un excellent moment, sourit Luc.
J’en ai bien l’impression aussi, mais je n’arrive pas à enlever cette légère inquiétude qui me taraude depuis le départ.